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Chers amis et collègues rechercheurs universitaires et civils,
 
Chers amis et collègues rechercheurs universitaires et civils,
  
Ceci est le site <ref>Aristote nous a apporté la notion de point, Descartes d'espace et Berner-Lee de site.</ref> d'une préoccupation : celle de la multitude augmentée, tiers lieu de la [[Glossaire#Multiprenance|multiprenance]] où la [[Glossaire#Multituide|multitude]] et le [[Glossaire#Peuple|peuple}} se prennent en "en-réseau" sous les auspices du commun de leur [[Glossaire#Sapience|sapience]] : la validation, la compréhension et le partage de leurs savoirs.  
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Ceci est le site <ref>Aristote nous a apporté la notion de point, Descartes d'espace et Berner-Lee de site.</ref> d'une préoccupation : celle de la multitude augmentée, tiers lieu de la [[Glossaire#Multiprenance|multiprenance]] où la [[Glossaire#Multitude|multitude]] et le [[Glossaire#Peuple|peuple]] se prennent en "en-réseau" sous les auspices du '''commun''' de leur '''[[Glossaire#Sapience|sapience]]''' : la validation, la compréhension et le partage de leurs savoirs.  
  
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De quoi est-elle faite ? quelle est sa grammaire ? quels sont nos outils et nos méthodes pour nous aider à l'atteindre et la mettre en pratique ?
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Mon parcours m'a fait connaitre et, avec bien d'autres, influer sur la diktyologie <ref> Meci à '''Paul Mathias''' d'avoir nommé la science de ce qui nous réunit en l'[[Glossaire#Interligence|interligence]] commune.  </ref> de l'"en-réseau" moderne. A partir de là il devenait nécessaire de nous doter d'une modélisation libre de ce qui est conceptuellement premier (''architectonique'') à notre environnement commun étendu, une fois clos le moratoire trentenaire de cette extension, réclamé par la transition vers l'Etat "en-réseau" (1986-2016).
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Sous le nom de "Plan M", pour "multitude", j'ai proposé une réflexion commune (conflexion) sur la manière d'en débattre ensemble à partir de nos expériences probantes (DNS et adressage, Sommet Mondial, Listes de discussion + Barcamp des organisation normatrices, Wikipedia, start-ups) ou moins probantes (cloisonnement universitaire, édition de la recherche, GAFGovs, augmentation limitée). Cette réflexion m'a montré les limites que nous avions a rencontrer : la communication peut conduire à l'intercompréhension mais aussi à la cacophonie (''qui lui est souvent préalable''), surtout lorsque l'économie ancienne, comme tout écosystème, cherche toujours à survivre, à s'étendre et à se reproduire.
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Nous n'en sommes pas encore au stade de l'augmentation de la multitude de chacun des humains. Trop de freins sont encore à deserrer. Mais cela n'est plus vrai du préalable obligé de la multitude de la science et du développement s'ouvrant par la pratique du participatif (réunion université/société civile) au niveau commun permis par un "plus machina" qu'elle vit déjà depuis quarante ans au coude à coude avec les Etats et l'industrie.
  
 
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Version du 18 juin 2019 à 12:04


Ce projet est celui d'une boutique des sciences où la société civile puisse questionner sa "recherche citoyenne", tant - selon l'évaluation des Académies des Sciences - "hors murs" que "participative", dans son souci d'une augmentation multi-cohérente de sa sapîence [1] humanumérique et éthitechnique commune de la multitude des "sapiens plus machina", et son application à l'étude de la capacitation technosociétale personnelle de chacun.
  1. Cette exploration réclame une extension terminologique introduite à son Glossaire.



Chers amis et collègues rechercheurs universitaires et civils,

Ceci est le site [1] d'une préoccupation : celle de la multitude augmentée, tiers lieu de la multiprenance où la multitude et le peuple se prennent en "en-réseau" sous les auspices du commun de leur sapience : la validation, la compréhension et le partage de leurs savoirs.

De quoi est-elle faite ? quelle est sa grammaire ? quels sont nos outils et nos méthodes pour nous aider à l'atteindre et la mettre en pratique ?

Mon parcours m'a fait connaitre et, avec bien d'autres, influer sur la diktyologie [2] de l'"en-réseau" moderne. A partir de là il devenait nécessaire de nous doter d'une modélisation libre de ce qui est conceptuellement premier (architectonique) à notre environnement commun étendu, une fois clos le moratoire trentenaire de cette extension, réclamé par la transition vers l'Etat "en-réseau" (1986-2016).

Sous le nom de "Plan M", pour "multitude", j'ai proposé une réflexion commune (conflexion) sur la manière d'en débattre ensemble à partir de nos expériences probantes (DNS et adressage, Sommet Mondial, Listes de discussion + Barcamp des organisation normatrices, Wikipedia, start-ups) ou moins probantes (cloisonnement universitaire, édition de la recherche, GAFGovs, augmentation limitée). Cette réflexion m'a montré les limites que nous avions a rencontrer : la communication peut conduire à l'intercompréhension mais aussi à la cacophonie (qui lui est souvent préalable), surtout lorsque l'économie ancienne, comme tout écosystème, cherche toujours à survivre, à s'étendre et à se reproduire.

Nous n'en sommes pas encore au stade de l'augmentation de la multitude de chacun des humains. Trop de freins sont encore à deserrer. Mais cela n'est plus vrai du préalable obligé de la multitude de la science et du développement s'ouvrant par la pratique du participatif (réunion université/société civile) au niveau commun permis par un "plus machina" qu'elle vit déjà depuis quarante ans au coude à coude avec les Etats et l'industrie.

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  1. Aristote nous a apporté la notion de point, Descartes d'espace et Berner-Lee de site.
  2. Meci à Paul Mathias d'avoir nommé la science de ce qui nous réunit en l'interligence commune.