Exploration collégiale

De LRtech
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Note: par application de la notion d'exploration collégiale que nous voulons définir, cette page sur ce que doit être l'exploration collégiale, est partie de l'idée initiale du conveneur : elle devrait être continuellement revue et améliorée à partir des suggestions et commentaires des participants au projet LRtech.

Etre tenu au courant : inscription/désinscription de la liste d'information (traffic failble) sur cette exploration collégiale.

Si vous souhaitez participer "de l'intérieur" à notre projet : envoyer un e-mail au primauteur cliquez et dites-le nous !
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Ce blik est en phase d'exploration collégiale, c'est à dire ce que nous comprenons comme une circonflexion ouverte autour des thèmes

  • de la diktyologie
  • de l'interdisciplinarité dans le cadre de notre "start-up", et bientôt "smart-up society".
  • et de la prospection des architectures, disciplines, méthodes et services innovants en termes de recherche et de vie sociétale simplexifiquement facilitées par elles.

Il y a les préoccupations dont traitera le fonds de notre recherche, mais il y a d'abord les préoccupations premières quant aux moyens et approches dont nous aurons besoin et que nous aurons à traiter, de par l'interdisiplinarité [ID] et la raison agorique dont userons dans le quotidien de notre travail et de notre analyse.

Parmi les idées nouvelles qu'il nous faut explorer, nous pouvons lister :

  • la préoccupation du mentorat et autoformation des jeunes futurs smart-uppers ;
  • dans le contexte probable de la levée de ce que nous appelons le quiproquo du numérique et la maîtrise architecturale et technologique requise et appliquée (du "running code") pour cela.
  • donc une évolution vers un intersem de plus en plus multimatique ;
  • et donc l'approfondissement intellectuel de l'ID, le retour des services étendus, le U2U qui ne peut que favoriser le polylogue interdisciplinaire et la progression de l'attention de la SX au niveau de la politique internationale.
  • Egalement, une attention particulière devrait être portée à la présentation rédactionnelle des textes et des publications innterdisciplinaires [1]. Sans doute une publication dans le cadre du système de revue en ligne de Numerev.

Ceci réclame une évolution culturelle soucieusement concertée entre les parties prenantes sans doute portée par un meet-up et/ou des barcamps.


  1. ex. exemple de Springer
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A titre de "terreau suggestionnel" voici les 21 chantiers que s'assignait la Commission Nationale du Débat Public dont le champs d'intervention est par nature interdisciplinaire :

  • Réformer le mode de financement des débats publics :
    * financement par versement de fonds des maîtres d’ouvrage à CNDP,
    * rémunération des garants par la CNDP et non par le maître d’ouvrage.
  • Développer la contre-expertise.
  • Améliorer le mode de sélection des membres des CPDP et des garants (vivier, rencontres préalables…).
  • Mettre en place une formation des membres de la CNDP, des CPDP, des garants et des secrétaires généraux et organiser des séminaires réguliers d’échange.
  • Améliorer l’indemnisation des membres de CPDP et des garants de façon à diversifier les profils, et à augmenter le pourcentage de jeunes actifs.
  • Faire évoluer les méthodologies du débat public, en fonction des contextes, afin de diversifier les modes d’expression de tous les publics, notamment via Internet et les réseaux sociaux.
  • Transformer le site Internet de la CNDP en un site portail de l’ensemble CNDP + CPDP et développer les contenus.
  • Définir et mettre en oeuvre des méthodes d’évaluation de chaque débat public (et des concertations avec garant).
  • Développer les échanges et les partenariats avec les acteurs de la gouvernance à 5 (collectivités, ONG, syndicats, patronat etc.), ainsi qu’avec les universitaires et les chercheurs.
  • Engager une coopération approfondie avec les grandes collectivités, maîtres d’ouvrage (régions, départements, communautés d’agglomération, grandes villes).
  • Constituer un groupe de personnalités connues du grand public et reconnues, susceptibles de promouvoir et de mettre en valeur le débat public auprès des citoyens.
  • Créer un “club Aarhus”, réseau d’échanges informels sur les pratiques étrangères en matière d’information et de participation du public.
  • Développer des coopérations et des échanges plus approfondis avec quelques grandes institutions (Conseil de l’Europe, Union Européenne, banque mondiale…) et quelques pays ( pays de l’Union Européenne, grands émergents, Afrique du Nord, Corée, Japon, USA, Canada…).
  • Sensibiliser les futurs managers (du public et du privé) au débat et à l’écoute des citoyens par des interventions dans les grandes écoles (ENA, écoles d’ingénieurs et de commerce) et les universités.
  • Renforcer la présence et l’image de la CNDP par une action spécifique en direction des médias et des acteurs institutionnels :
    * lettre électronique mensuelle
    * petits-déjeuners avec les partenaires
    * les notes de la CNDP (trimestrielles).
  • Organiser des matinées de réflexion thématique trimestrielles avec des intervenants étrangers et ouverts à un large public : “les mardis de la CNDP”
  • Évaluer les attentes des citoyens en matière d’information et de participation au processus de décision (sondage d’opinion, étude qualitative…).
  • Organiser un colloque international, les 16 et 17 juin 2014, sur l’information des citoyens et leur place dans la décision publique.
  • Élargir la capacité d’intervention de la CNDP après un débat public jusqu’à l’enquête publique (possibilité d’imposer un garant au maître d’ouvrage…).
  • Prévoir l’information de la CNDP et la possibilité de son intervention tout au long de la vie d’un projet : du début des études à la réalisation
  • Étendre le champ d’action de la CNDP aux grands projets d’aménagement et positionner la CNDP, autorité neutre et indépendante en utilisant des outils et des méthodologies spécifiques, comme acteur de débats publics relatifs à de nouveaux domaines.