Le contexte de notre préoccupation interdisciplinaire : Différence entre versions

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La motivation de notre projet est '''glocale'''. C'est à dire locale et globale.
 
  
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Ce projet résulte de l'observation d'une convergence profonde de préoccupations d'"en-réseau" multidisciplinaire :
  
* '''Locale''' :
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* des colloques, séminaires et travaux universitaires <ref> recension à venir.</ref> des dernières années en Languedoc-Rousillon (en particulier à la MSHsud : Numérev/CommonData, LERASS...) ;
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* d'un projet de thèse sur la concitoyenneté au sein de la multitude augmentée, à partir de l'expérience INTLNET, co-pionnier de l'internet et d'autres associations montpellieraines ;
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* de la publication par Olivier Auber ("Anoptikon") de son expérience scientifique (renouvelable, réfutable, mesurable) du générateur poïétique et questionnant la  bio-ontique "anoptique" d'un "internet invisible".
  
:en raison de l'homogénéité des capacités existantes de recherche, d'approfondissement et de proposition languedocienne-roussillonnaise :
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L'IG Paul Mathias (CNU, Philosophie) débogue depuis deux décennies la discipline de l'"en-réseau" conceptuel sous le nom maintenant communément admis de diktyologie (utilisatrice mais à ne pas confondre avec la théorie des réseaux) mais ne l'a pas encore fait admettre comme 53è section !
  
:*Le 20 mars 2017, la "Charte des sciences et recherches participatives en France : accompagner, soutenir et promouvoir les collaborations entre acteurs de la recherche scientifique et de la société civile" a été cosignée au Ministère de l'EN et de la Recherche.
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Le concept de boutique des sciences et recherches participatives (université/société civile, ouverte au secteur privé et à la normalisation internationale) semble adéquat pour engager une "circonflexion" sur la thématique d'une diktyologie interdisciplinaire : historique de la recherche, unification méthodologique, conception, bonnes pratiques et standardisation d'outils, d'une sémiotique et sans doute d'une modélisation architectonique ouverte.
  
::En juin 2017, la MSHsud de Montpellier a pérennisé, par sa Boutique des Sciences, les acquis des premières Assises Sciences et Société qu'elle avait coorganisées avec ALLISS.
 
  
:*l'IG Paul Mathias, Doyen philo du CNU, a identifié et documenté la diktyologie comme la science de l'"en-réseau", sans en faire encore la 53ème section universitaire, celle de notre vécu du jeune "intercène"
 
 
:*Le 29 mars 2018, l'IAE Montpellier nous interroge : l’univers numérique va-t-il « ubériser » l’enseignement supérieur ? D'une conversation antérieure avec le Président Phillipe Auge, j"y identifie que le participatif pouvait partir d'une thèse sur la concertation de l'augmentation.
 
 
:*Fin juin 2019, Numerev organise un colloque sur le "faire dialoguer les disciplines via l’indexation des connaissances : la recherche interdisciplinaire en débats" qui se rapproche de l'objectif de mon association SAS pour un système d'adressage sémantique.
 
 
:*Mi-octobre, le LERASS-CERIC organise 12ème Colloque international d’ISKO-France sur l’organisation, la classification et la gestion des connaissances à partir des données massives.
 
 
:*En décembre, l'Université de Perpignan va accueillir INSCI 2019. Elle y projette une rencontre entre théoriciens universitaires et mécaniciens industriels autour de la science de l'internet, en étant ouverte à des projets et ateliers des praticiens civils du "sapiens plus machina".
 
 
:* etc.
 
 
 
* '''Globale''' :
 
 
: en raison de l'analyse écosystémique actuelle de nos priorités technologiques humaines. La bonne chose au bon endroit. Cette motivation est plus complexe à exposer, et il est probable que cette partie fera l'objet de nombreux ajustements au fur est à mesure de notre travail et de ses acquis. 
 
  
 
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Version du 31 mai 2019 à 10:53


Ce projet résulte de l'observation d'une convergence profonde de préoccupations d'"en-réseau" multidisciplinaire :

  • des colloques, séminaires et travaux universitaires [1] des dernières années en Languedoc-Rousillon (en particulier à la MSHsud : Numérev/CommonData, LERASS...) ;
  • d'un projet de thèse sur la concitoyenneté au sein de la multitude augmentée, à partir de l'expérience INTLNET, co-pionnier de l'internet et d'autres associations montpellieraines ;
  • de la publication par Olivier Auber ("Anoptikon") de son expérience scientifique (renouvelable, réfutable, mesurable) du générateur poïétique et questionnant la bio-ontique "anoptique" d'un "internet invisible".

L'IG Paul Mathias (CNU, Philosophie) débogue depuis deux décennies la discipline de l'"en-réseau" conceptuel sous le nom maintenant communément admis de diktyologie (utilisatrice mais à ne pas confondre avec la théorie des réseaux) mais ne l'a pas encore fait admettre comme 53è section !

Le concept de boutique des sciences et recherches participatives (université/société civile, ouverte au secteur privé et à la normalisation internationale) semble adéquat pour engager une "circonflexion" sur la thématique d'une diktyologie interdisciplinaire : historique de la recherche, unification méthodologique, conception, bonnes pratiques et standardisation d'outils, d'une sémiotique et sans doute d'une modélisation architectonique ouverte.




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