Le contexte de notre préoccupation interdisciplinaire : Différence entre versions

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La motivation de notre projet est '''glocale'''. C'est à dire locale et globale.
 
  
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Ce projet résulte de l'émergence observable d'une convergence profonde <ref> Cette préoccupation civilement identifiée n'a pas encore été universitairement formalisée, mais devrait sans doute commencer à l'être lors des colloques de fin 2019 et du travail engagé à l'IETF. </ref> des préoccupations d'"'''en-réseau'''" multidisciplinaire :
  
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* '''Locale''' :
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* des enseignements des colloques, séminaires et travaux universitaires <ref>
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:Le 20 mars 2017, la "Charte des sciences et recherches participatives en France : accompagner, soutenir et promouvoir les collaborations entre acteurs de la recherche scientifique et de la société civile" a été cosignée au Ministère de l'EN et de la Recherche.
  
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:en raison de l'homogénéité des capacités existantes de recherche, d'approfondissement et de proposition languedocienne-roussillonnaise :
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:En juin 2017, la MSHsud de Montpellier a pérennisé, par sa Boutique des Sciences, les acquis des premières Assises Sciences et Société qu'elle avait coorganisées avec ALLISS.
  
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:*Le 20 mars 2017, la "Charte des sciences et recherches participatives en France : accompagner, soutenir et promouvoir les collaborations entre acteurs de la recherche scientifique et de la société civile" a été cosignée au Ministère de l'EN et de la Recherche.
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:Le 29 mars 2018, l'IAE Montpellier nous interroge : l’univers numérique va-t-il « ubériser » l’enseignement supérieur ? D'une conversation antérieure avec le Président Phillipe Auge, j'y identifie que le participatif pouvait partir d'une thèse sur la concertation de l'augmentation.
  
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::En juin 2017, la MSHsud de Montpellier a pérennisé, par sa Boutique des Sciences, les acquis des premières Assises Sciences et Société qu'elle avait coorganisées avec ALLISS.
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:Fin juin 2019, Numerev organise un colloque sur le "faire dialoguer les disciplines via l’indexation des connaissances : la recherche interdisciplinaire en débats" qui se rapproche de l'objectif de mon association SAS pour un système d'adressage sémantique.
  
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:*l'IG Paul Mathias, Doyen philo du CNU, a identifié et documenté la diktyologie comme la science de l'"en-réseau", sans en faire encore la 53ème section universitaire, celle de notre vécu du jeune "intercène"
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:Mi-octobre, le LERASS-CERIC organise 12ème Colloque international d’ISKO-France sur l’organisation, la classification et la gestion des connaissances à partir des données massives.
  
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:*Le 29 mars 2018, l'IAE Montpellier nous interroge : l’univers numérique va-t-il « ubériser » l’enseignement supérieur ? D'une conversation antérieure avec le Président Phillipe Auge, j"y identifie que le participatif pouvait partir d'une thèse sur la concertation de l'augmentation.
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:En décembre, l'Université de Perpignan va accueillir INSCI 2019. Elle y projette une rencontre entre théoriciens universitaires et mécaniciens industriels autour de la science de l'internet, en étant ouverte à des projets et ateliers des praticiens civils du "sapiens plus machina".
  
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:*Fin juin 2019, Numerev organise un colloque sur le "faire dialoguer les disciplines via l’indexation des connaissances : la recherche interdisciplinaire en débats" qui se rapproche de l'objectif de mon association SAS pour un système d'adressage sémantique.
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</ref> des dernières années en Languedoc-Roussillon (en particulier à la [https://www.mshsud.org/ MSHsud] : [https://numerev.com Numérev], [https://commondata.fr/ CommonData], [https://lerass-ceric.com/ CERIC]) ;
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* d'un projet de thèse, sur la concitoyenneté au sein de la multitude augmentée, à partir de l'expérience de l'association [http://intlnet.org INTLNET] créée en 1978 et co-pionnière de l'internet, maintenant installée en périphérie montpelliéraine, et de l'existence d'un tissu d'associations régionales <ref> Adullact, Iloth et MontpelNet - SAS et Utibot de la proximité INTLNET. </ref>,;
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* de la publication par [http://anoptica.mp Olivier Auber] ("Anoptikon") de son expérience scientifique (renouvelable, réfutable, mesurable) du [http://anoptica.mp générateur poïétique] et questionnant la bio-ontique "anoptique" d'un "internet invisible".
  
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:*Mi-octobre, le LERASS-CERIC organise 12ème Colloque international d’ISKO-France sur l’organisation, la classification et la gestion des connaissances à partir des données massives.
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L'IG [http://diktyologie.homo-numericus.net/spip.php?rubrique10 Paul Mathias] (CNU, Philosophie) débogue depuis deux décennies la discipline de l'"en-réseau" conceptuel sous le nom maintenant communément admis de "[[Glossaire#Diktyologie|diktyologie]]" <ref> utilisatrice, mais à ne pas confondre avec elle, de la théorie des réseaux </ref>, mais ne l'a pas encore fait admettre comme 53e section universitaire, ce qui serait sans doute un grand apport à la recherche et à la raison méthodique (''[[Glossaire#Mathémagorique|mathémagorique]]'').
  
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:*En décembre, l'Université de Perpignan va accueillir INSCI 2019. Elle y projette une rencontre entre théoriciens universitaires et mécaniciens industriels autour de la science de l'internet, en étant ouverte à des projets et ateliers des praticiens civils du "sapiens plus machina".  
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Le concept de '''[[boutique des sciences et recherches participatives]]''' (''université/société civile, ouverte au secteur privé et à la normalisation internationale'') semble adéquat pour engager une "[[Glossaire#Circonflexion|circonflexion]]" sur la thématique d'une diktyologie interdisciplinaire : historique de la recherche, unification méthodologique, conception, bonnes pratiques et standardisation d'outils, sémiotique et, sans doute, modélisation architectonique ouverte.
  
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: en raison de l'analyse écosystémique actuelle de nos priorités technologiques humaines. La bonne chose au bon endroit. Cette motivation est plus complexe à exposer, et il est probable que cette partie fera l'objet de nombreux ajustements au fur est à mesure de notre travail et de ses acquis. 
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Version actuelle en date du 24 juin 2019 à 08:11


Ce projet résulte de l'émergence observable d'une convergence profonde [1] des préoccupations d'"en-réseau" multidisciplinaire :

  • des enseignements des colloques, séminaires et travaux universitaires [2] des dernières années en Languedoc-Roussillon (en particulier à la MSHsud : Numérev, CommonData, CERIC) ;
  • d'un projet de thèse, sur la concitoyenneté au sein de la multitude augmentée, à partir de l'expérience de l'association INTLNET créée en 1978 et co-pionnière de l'internet, maintenant installée en périphérie montpelliéraine, et de l'existence d'un tissu d'associations régionales [3],;
  • de la publication par Olivier Auber ("Anoptikon") de son expérience scientifique (renouvelable, réfutable, mesurable) du générateur poïétique et questionnant la bio-ontique "anoptique" d'un "internet invisible".

L'IG Paul Mathias (CNU, Philosophie) débogue depuis deux décennies la discipline de l'"en-réseau" conceptuel sous le nom maintenant communément admis de "diktyologie" [4], mais ne l'a pas encore fait admettre comme 53e section universitaire, ce qui serait sans doute un grand apport à la recherche et à la raison méthodique (mathémagorique).

Le concept de boutique des sciences et recherches participatives (université/société civile, ouverte au secteur privé et à la normalisation internationale) semble adéquat pour engager une "circonflexion" sur la thématique d'une diktyologie interdisciplinaire : historique de la recherche, unification méthodologique, conception, bonnes pratiques et standardisation d'outils, sémiotique et, sans doute, modélisation architectonique ouverte.

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  1. ↑ Cette préoccupation civilement identifiée n'a pas encore été universitairement formalisée, mais devrait sans doute commencer à l'être lors des colloques de fin 2019 et du travail engagé à l'IETF.
  2. ↑
    Le 20 mars 2017, la "Charte des sciences et recherches participatives en France : accompagner, soutenir et promouvoir les collaborations entre acteurs de la recherche scientifique et de la société civile" a été cosignée au Ministère de l'EN et de la Recherche.
    En juin 2017, la MSHsud de Montpellier a pérennisé, par sa Boutique des Sciences, les acquis des premières Assises Sciences et Société qu'elle avait coorganisées avec ALLISS.
    Le 29 mars 2018, l'IAE Montpellier nous interroge : l’univers numérique va-t-il « ubériser » l’enseignement supérieur ? D'une conversation antérieure avec le Président Phillipe Auge, j'y identifie que le participatif pouvait partir d'une thèse sur la concertation de l'augmentation.
    Fin juin 2019, Numerev organise un colloque sur le "faire dialoguer les disciplines via l’indexation des connaissances : la recherche interdisciplinaire en débats" qui se rapproche de l'objectif de mon association SAS pour un système d'adressage sémantique.
    Mi-octobre, le LERASS-CERIC organise 12ème Colloque international d’ISKO-France sur l’organisation, la classification et la gestion des connaissances à partir des données massives.
    En décembre, l'Université de Perpignan va accueillir INSCI 2019. Elle y projette une rencontre entre théoriciens universitaires et mécaniciens industriels autour de la science de l'internet, en étant ouverte à des projets et ateliers des praticiens civils du "sapiens plus machina".
  3. ↑ Adullact, Iloth et MontpelNet - SAS et Utibot de la proximité INTLNET.
  4. ↑ utilisatrice, mais à ne pas confondre avec elle, de la théorie des réseaux


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