Multiprenance : Différence entre versions
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− | Pour de multiples raisons et par de multiples observations, il nous devient d'évidence qu'une '''catégorisation nouvelle''' de l'humanité, et sans dout de bien des domaines, devient nécessaire pour compléter les deux catégories de '''Machiavel''' : la '''multitude''' sans organisation et la multitude institutionalisée en '''peuple''' par l''''Etat'''. C'est celle de la ''multitude s'auto-organisant'' à travers une nouvelle forme du Droit : celui, né de ses '''machines''' (''le "plus machina"'') et de l'achitecture de | + | Pour de multiples raisons et par de multiples observations, il nous devient d'évidence qu'une '''catégorisation nouvelle''' de l'humanité, et sans dout de bien des domaines, devient nécessaire pour compléter les deux catégories de '''Machiavel''' : la '''multitude''' sans organisation et la multitude institutionalisée en '''peuple''' par l''''Etat'''. C'est celle de la '''''multitude s'auto-organisant''''' à travers une nouvelle forme du Droit : celui, né de ses '''machines''' (''le "plus machina"'') et de l'achitecture de son "en-réseau" (''diktyologie''), où les "chacuns de nous" deviennent '''preneur d'autonomie''' mutuellement reconnus. |
− | Le mot/concept qui en découle est donc celui | + | Le mot/concept qui en découle est donc celui d'une "'''multiprenance'''" où les prise de choix de chacun sont autonomes à partir d'une concertation informative et où le "'''[[Glossaire#Multiconsensus|multi-consensus]]''" de vie commune émerge ensuite par ajustements mutuels. |
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Version du 17 juin 2019 à 14:56
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Pour de multiples raisons et par de multiples observations, il nous devient d'évidence qu'une catégorisation nouvelle de l'humanité, et sans dout de bien des domaines, devient nécessaire pour compléter les deux catégories de Machiavel : la multitude sans organisation et la multitude institutionalisée en peuple par l'Etat. C'est celle de la multitude s'auto-organisant à travers une nouvelle forme du Droit : celui, né de ses machines (le "plus machina") et de l'achitecture de son "en-réseau" (diktyologie), où les "chacuns de nous" deviennent preneur d'autonomie mutuellement reconnus.
Le mot/concept qui en découle est donc celui d'une "'multiprenance" où les prise de choix de chacun sont autonomes à partir d'une concertation informative et où le "multi-consensus" de vie commune émerge ensuite par ajustements mutuels.