Multiprenance : Différence entre versions
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| − | L'évolution sociale qui semble être à la base de cette '''multiprenance''' semble être l'extension de la parole par le perférent. La parole par son écoute entraine l'auditeur vers sa propre réflexion et sa propre philosophie de pensée, et par là vers l'écrit qui est solitaire. La multiprenance est en fait que les chacuns de la multitude n'y sont plus absorbés de façon chaotique, mais incorporés individuellement et donc volontairement dans sa | + | L'évolution sociale qui semble être à la base de cette '''multiprenance''' semble être l'extension de la parole par le perférent. La parole par son écoute entraine l'auditeur vers sa propre réflexion et sa propre philosophie de pensée, et par là vers l'écrit qui est solitaire. La multiprenance est en fait que les chacuns de la multitude n'y sont plus absorbés de façon chaotique, mais incorporés individuellement et donc volontairement dans sa corrélation. Ce sont les "chacuns de nous qui prennent part" comme dans un immesurable débat. Le perférent participatif le permet, son étude et son développement [[digitique]] nous est donc prioritaire. |
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Version actuelle en date du 18 juin 2019 à 15:35
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Pour de multiples raisons et par de multiples observations, il nous devient d'évidence qu'une catégorisation nouvelle de l'humanité, et sans dout de bien des domaines, devient nécessaire pour compléter les deux catégories de Machiavel :
- la multitude sans organisation
- et la multitude institutionnalisée en peuple par l'Etat.
C'est celle de la multitude s'auto-organisant à travers une nouvelle forme du Droit : celui, né de ses machines (le "plus machina") et de l'architecture de son "en-réseau" (diktyologie), où les "chacuns de nous" deviennent preneurs d'autonomie mutuellement reconnus.
Le mot/concept qui en découle est donc celui d'une "'multiprenance" où les prises de choix de chacun sont autonomes à partir d'une concertation informative et où le "multiconsensus" de vie commune, émerge ensuite par ajustements mutuels.
L'évolution sociale qui semble être à la base de cette multiprenance semble être l'extension de la parole par le perférent. La parole par son écoute entraine l'auditeur vers sa propre réflexion et sa propre philosophie de pensée, et par là vers l'écrit qui est solitaire. La multiprenance est en fait que les chacuns de la multitude n'y sont plus absorbés de façon chaotique, mais incorporés individuellement et donc volontairement dans sa corrélation. Ce sont les "chacuns de nous qui prennent part" comme dans un immesurable débat. Le perférent participatif le permet, son étude et son développement digitique nous est donc prioritaire.
