Structuration - Administration - Gestion

De LRtech
Version du 16 juin 2019 à 08:53 par Sysop (discuter | contributions)

(diff) ← Version précédente | Voir la version courante (diff) | Version suivante → (diff)
Aller à : navigation, rechercher

Ce projet est celui d'une boutique des sciences où la société civile puisse questionner sa "recherche citoyenne", tant - selon l'évaluation des Académies des Sciences - "hors murs" que "participative", dans son souci d'une augmentation multi-cohérente de sa sapîence [1] humanumérique et éthitechnique commune de la multitude des "sapiens plus machina", et son application à l'étude de la capacitation technosociétale personnelle de chacun.
  1. Cette exploration réclame une extension terminologique introduite à son Glossaire.



Le projet LRtech porte sur une forme nouvelle de "Boutique des Sciences" (Science Shop) : celle,

  • d'une gestion par et pour une multiprenance, c'est à dire d'une multitude qui sauto-organise et réorganise constament à travers sa multi-systèmique informatique (multimatique).
  • délibérément étendue à la recherche, tant en profondeur (architectectonique, vers les mémes premiers), que laterallement (interdisciplnarité conceptuelle, de méthode et de moyens). aue sociologiquement (chacun est codétenteur et trouveur possible de connexions au sein du commun de la sapience partagée).

L'administration, la gestion et les ressources d'un tel projet réclament juridiquement des solutions et des tatonnements nouveaux. Ils seront fonctionnellement présentés ici.

_________________


Principes généraux


le propos


La connnection des idées du projet s'inscrit dans le cadre d'une préoccupation interscientifique personnelle mise en application à partir de 1977. Cette préoccupation concerne la capacitation concitoyenne de la multitude augmentée alors en émergence. Le propos était donc de répondre par le "développement, nouveau nom de la paix", au triple besoin philosophique, technosophique et écologique appliqué, et donc à leur niveau archtectonique commun, d'une mise à niveau banale, quotidienne, post-moderne et efficace de la philia humaine, grâce à un "plus machina" qu'il convenait de maîtriser ensemble [1].


institutionnel


Les modalités de ce projet ont été simples : le recours à l'associatif civil, parfois à une auto-entreprise, comme secrétariat incitatif de projets stratégiques ou privés d'intérêt commun, fondés sur une validation de principe globale (tant internationale :que multisourcée), par explorations ou modélisation appliquées "locales" (recherche-action).


leçon des acquis


Ce niveau "glocal" l'a conduit du co-déploiement de terrain du réseau mondial à sa co-normalisation et à sa co-évolution architecturale. Se fondant sur cette expérience de l'importance et de la puissance de la focalisation fonctionnelle par une entité pérenne (institut universitaire, personne morale, site web) identifiée par un nom, définie par une mission, capacitée par un passé crédible [2] et un budget a minima, il ne sera ici discuté que de telles entités, de leur organigramme et de ce qui est attendue d'elles, sans acception de leurs membres (personnes physiques, articielles ou morales) ni de leur capital financier [3] .
---
  1. notion de brainware ou de noogitiel, le savoir utiliser ensemble, mise en avant dès l'origine.
  2. notion de mnème.
  3. Tant que la monnaie ne recouvre pas une capacité facilitatrice suffisante.


Expériences lattérales


L'idée de "Sciences Shops" a une histoire européenne, française et occitane dont il convient de considérer l'expérience.


Spécificité de ce projet


Par principe même du participatif, nous sommes dans la convergence d'une dualité :

  • pour une boutique de sciences : l'université s'organise pour répondre à la société civile à travers les questions de ses associations : les deux parties partenaires sont organisées.
  • pour une boutique interdisciplinaire des sciences (on se rapproche des réseaux Carnot) : des organisations spécialisées de la société civile (ou professionnelles) se tourneront vers la multidiscplinarité universitaire pour poser des questions pré-travaillées (ici aussi les deux parties sont organisées, et le crédits impôt-recherche est à la manoeuvre du côté privé).
  • pour une boutique participative des sciences et recherches interdisciplinaires c'est l'ensemble de la multiprenance (tous ceux qui prennent en compte les mêmes connaissances et se posent les mêmes questions, les uns dans un cadre financé universitaire, les autres dans un cadre non-financé civil) qui va s'interroger et se repondre à partir des apports de ses différentes capacités d'observation, de réflexion croisée (conflexion) et de maillage intellectuel.
Dans ce cas, les deux parties ne sont pas spécifiquement organisées, ni financées. Ceci relève donc de la Gouvernance du projet : c'est l'organigramme qui sera présenté, travaillé et sans doute constamment retravaillé ici :


Apport universitaire



Ce projet étant d'origine civile, l'apport universitaire considéré au départ est celui de ses propositions existantes, à ses étudiants [1] et au public [2]. Il pourra bénéficier de sponsors privés motivés par les objectifs de la société civiles.

Basilithèque 
l'ambition est de présenter de façon homogène, claireme et tenue à jour l'ensemble des possibilités universitaires et publiques mises à disposition des Membres de la société civile, et de leur calendrier.
Paul Valery 
Il est certain que les attentes d'un projet de boutique participative des sciences et recherches sur la diktyologie de l'interdisciplinaire relève de ce qui est appelé par l'Université les Humanités Numériques. Le projet NEXUS est donc pour lui un projet d'intérêt à bien comprendre.










---
  1. Les Membres de la société civile s'inscrivant par exemple en écoles doctorales.
  2. conférences et colloques ouverts, université du troisième âge.


Contribution civile



La contribution civile sera soit celle d'individuels, soit d'entreprises d'économie sociale et solidaire [1], soit de junior/sénior entreprises, soit d'associations d'intérêt général et/ou de recherche [2]

Basilithèque
l'on visera de même à permettre aux initiatives privées et associative de se joindre à la documention des opportunités et au clandrier général.
Secrétariat 
il est nécessaire qu'un secrétariat commun de la boutique et la gestion du blik soit assuré. Ce secrétariat sera placé sous l'autorité de MontpelNet qui le déléguera à une sénior entreprise Créatise.
Ressouces informatiques 
Il existe un double besoin :
  • hébergement pérenne des systèmes
  • recherche et développement des systèmes logiciels
Budgetisation 
l'idée est de confier la réunion, la supervision temps réel et la gestion financière à une structure de multitudinariat, c'est à dire une société par actions simplifiée ouverte, à parts nominales symboliques, ayant pour objet l'acquisition groupée des prestations, services en lignes, équipements et maintenance à l'avantage de ses actionnaires et des mémbres de la multitude concitoyenne du public souhaitant disposer d'une cohérence de mise en oeuvre de leur neb (réseau virtuel glocal privé).
---
  1. en vue de la concaténation et mise à disposition du commun de la sapience.
  2. C'est ici qu'une répartition fonctionnelle des tâches peut inciter les collectivités et pouvoirs publics à équilibrer les aides apportées à la recherche multiprenante.